Les efforts d’assainissement du commerce extérieur ont donné des résultats étonnants : sur plus de 30 000 importateurs au départ, aujourd’hui, 9 000 seulement opèrent selon la spécialisation, une obligation. «Les autres pour la plupart ont des registres de commerce non radiés pour éviter les impôts. Ils créent d’autres sociétés dans d’autres activités sans radier leurs premiers registres de commerce. Ils doivent radier leurs sociétés et payer les impôts», a indiqué Kamel Rezig. Sans cela, a-t-il ajouté, «on déposera plainte en justice». Il a indiqué que 9 000 importateurs sont sans registre de commerce, dont un tiers de ces importateurs indélicats sont des étrangers. «C’est l’anarchie au niveau des importations», a commenté le ministre du Commerce.
K. R.